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Dans une décision rendue publique le 1er août, une cour d’appel fédérale a confirmé une ordonnance d’un juge californien interdisant temporairement aux agents fédéraux d’effectuer des arrestations liées à l’immigration à Los Angeles sans motif légitime. Cette décision constitue un revers significatif pour l’administration Trump, qui avait sollicité la suspension de cette interdiction émise en juillet.

Le 28 juin 2025 restera une date marquante pour la communauté LGBTQ+ en Hongrie. Plus de 200 000 personnes ont défilé dans les rues de Budapest lors de la Marche des fiertés, un chiffre jamais atteint depuis les débuts de l’événement il y a trois décennies. Et ce, malgré une interdiction officielle émise par le gouvernement conservateur de Viktor Orbán.

La situation dans les prisons françaises atteint un niveau critique. Le 1er juillet 2025, les établissements pénitentiaires affichaient une population carcérale de 84 951 détenus pour 62 509 places disponibles, marquant ainsi un nouveau record historique de surpopulation. Ce déséquilibre alarmant révèle un excédent de 22 442 personnes incarcérées par rapport aux capacités officielles.

L’ancien président colombien Álvaro Uribe, figure majeure de la droite et chef de l’État de 2002 à 2010, a été condamné ce vendredi 1er août à douze ans d’assignation à résidence. Il est reconnu coupable de subornation de témoin et fraude procédurale, devenant ainsi le premier ancien chef d’État colombien à être privé de liberté.

Avec “Jour de Paix”, son septième album, le rappeur guinéen Djanii Alfa signe un manifeste brûlant de 19 titres, mêlant lucidité politique et puissance poétique. À travers des textes acérés, il dénonce la corruption, les pillages des ressources africaines et l’inaction de ses dirigeants. Entre rage contenue et espoir trahi, il incarne un rap conscient, à la croisée de l’art, de la résistance et de l’éducation citoyenne.

Le Front de Libération de l’Azawad (FLA), écarté des discussions, rejette en bloc le projet, le qualifiant de « mascarade politique ». Selon lui, la Charte ne reflète ni un véritable processus de paix ni une reconnaissance des injustices subies. De son côté, l’opposition en exil fustige un texte théorique, déconnecté des réalités locales, et fragilisé par l’absence de dialogue inclusif.

Le dispositif sécuritaire s’explique non seulement par les précédentes menaces d’attentat contre le président américain, mais aussi par les rassemblements annoncés ce week-end pour protester contre l’extrême droite américaine. Lors de son dernier passage en 2018, des milliers de personnes s’étaient réunies à Aberdeen, Glasgow et Édimbourg pour exprimer leur opposition.

Ce vote intervient dans un contexte tendu, au lendemain de l’arrestation d’un haut responsable du NABU, accusé d’espionnage au profit de la Russie. Une arrestation immédiatement jugée arbitraire par Transparency International Ukraine, qui dénonce une volonté manifeste de museler les enquêtes sensibles.

Santiago, 21 juillet — Un vent de changement souffle sur l'Amérique latine. Réunis dans la capitale chilienne pour le sommet « Democracy Forever », les chefs d’État du Chili, du Brésil, de la Colombie, de l’Uruguay, ainsi que le Premier ministre espagnol, entendent défendre la démocratie à l’heure de l’intelligence artificielle et des géants du numérique.

Doha, 19 juillet 2025 – Un nouveau souffle pour la paix dans l’Est de la République démocratique du Congo : le gouvernement congolais et l’AFC/M23 ont officiellement signé un accord de principe à Doha, au Qatar. Paraphé en présence du ministre d’État qatari aux Affaires étrangères, ce document symbolise une volonté commune de sortir du cycle de violences à travers le dialogue et les solutions diplomatiques.

Or, les associations dénoncent une omission majeure : l’absence d’informations sur les risques environnementaux et sanitaires liés à l’utilisation du PTFE lui-même, notamment lors du chauffage des poêles ou de leur élimination en fin de vie. « Il est inacceptable de diffuser ce type de message alors que des enjeux de santé publique et de protection de l’environnement sont en cause », fustige Anne Roques, juriste à la FNE.

Après de longues heures d'attente dans l’enceinte du tribunal, c’est peu après 17h que les accusés sont appelés à la barre. L’audience, brève mais décisive, s’est conclue sur une déclaration sans équivoque du président de la cour : "non coupable" pour les six présents, une décision également étendue à un septième prévenu, jugé en son absence.