Tous les articles

Dans un hémicycle presque vide, Mette Frederiksen s’est exprimée drapée d’une veste bleu azur, en écho au drapeau européen. Elle a ouvertement placé la sécurité de l’Europe au sommet de son programme, évoquant à la fois la menace russe, le besoin de réarmement et surtout, le contrôle des flux migratoires.

Le mot d’ordre de cette allocution solennelle : la coopération. Qu’elle soit militaire, technologique ou économique, Emmanuel Macron a insisté sur la nécessité de bâtir une autonomie stratégique commune, notamment pour réduire la dépendance à l’égard des grandes puissances comme les États-Unis ou la Chine. « La France et le Royaume-Uni doivent prouver que leur alliance peut faire la différence », a-t-il lancé, soulignant la portée globale du partenariat franco-britannique.

Donald Trump n’a pas tardé à riposter. Sur Truth Social, le président a lancé une salve dirigée contre son ancien allié, insinuant qu’Elon Musk doit sa réussite à l’argent public : « Elon a sans doute touché plus de subventions que quiconque dans l’histoire. Sans cela, il aurait peut-être dû plier bagage et rentrer en Afrique du Sud. »

Par six voix contre trois, les magistrats conservateurs ont estimé que les injonctions à portée nationale émises par certains tribunaux fédéraux excédaient les compétences que le Congrès leur a conférées. « Lorsqu’un tribunal estime que l’exécutif a agi de manière illégale, il ne peut lui-même outrepasser ses attributions », a écrit la juge Amy Coney Barrett, s’exprimant au nom de la majorité.